Club utilise des cookies et des technologies similaires pour faire fonctionner correctement le site web et vous fournir une meilleure expérience de navigation.
Ci-dessous vous pouvez choisir quels cookies vous souhaitez modifier :
Club utilise des cookies et des technologies similaires pour faire fonctionner correctement le site web et vous fournir une meilleure expérience de navigation.
Nous utilisons des cookies dans le but suivant :
Assurer le bon fonctionnement du site web, améliorer la sécurité et prévenir la fraude
Avoir un aperçu de l'utilisation du site web, afin d'améliorer son contenu et ses fonctionnalités
Pouvoir vous montrer les publicités les plus pertinentes sur des plateformes externes
Gestion des cookies
Club utilise des cookies et des technologies similaires pour faire fonctionner correctement le site web et vous fournir une meilleure expérience de navigation.
Ci-dessous vous pouvez choisir quels cookies vous souhaitez modifier :
Cookies techniques et fonctionnels
Ces cookies sont indispensables au bon fonctionnement du site internet et vous permettent par exemple de vous connecter. Vous ne pouvez pas désactiver ces cookies.
Cookies analytiques
Ces cookies collectent des informations anonymes sur l'utilisation de notre site web. De cette façon, nous pouvons mieux adapter le site web aux besoins des utilisateurs.
Cookies marketing
Ces cookies partagent votre comportement sur notre site web avec des parties externes, afin que vous puissiez voir des publicités plus pertinentes de Club sur des plateformes externes.
Une erreur est survenue, veuillez réessayer plus tard.
Il y a trop d’articles dans votre panier
Vous pouvez encoder maximum 250 articles dans votre panier en une fois. Supprimez certains articles de votre panier ou divisez votre commande en plusieurs commandes.
Im goldenen Herbst des Jahres 2012 stand »Die Welt« für einen Tag still, und als Sinnbild des Stillstands lag dort ein schläfriger Hund, wo sonst die Schlagzeilen drohen. Was war geschehen? Gerhard Richter, einer der global maßgeblichen Künstler, hatte die Herrschaft ergriffen und allen 30 Seiten der »Welt«-Ausgabe vom 5. Oktober 2012 seinen Handstempel aufgedrückt: Bilder von ruhigen Momenten in unruhigen Zeiten, Aufhebung des politischen Primats, Privates statt Welthistorisches, vor allem aber: kunstvolle Kontraste zwischen Schärfe und Unschärfe.Bei der öffentlichen Vorstellung dieser ungewöhnlichen Kunstaktion hielt Alexander Kluge die Laudatio. Spontan begleitete er die Fotos mit Geschichten. Gerhard Richter antwortete darauf ebenso spontan mit dem Vorschlag eines gemeinsamen Buches. Richter lieferte weitere Bilder und Kluge weitere Geschichten. So entstand nach dem Erfolgsbuch »Dezember« eine zweite gemeinsame Arbeit der beiden im Februar 1932 geborenen Künstler: ein Buch zur zeitgleich durchlebten Geschichte, so scharf wie unscharf gesehen.