«Au moment où Guillène affirme sa cubanité, fondée sur son
métissage ethnique et culturel, et non de manière purement
symbolique, l'histoire de la littérature cubaine prend un
tournant décisif. Jusque-là, les rares mulâtres qui, au XIXe
siècle, avaient accès à l'instruction, n'avaient pu s'épancher
de manière explicite dans leurs oeuvres sur leur condition
d'héritiers de l'exploitation coloniale.»