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»Work it harder, make it better, do it faster, makes us stronger«, sang die französische Band Daft Punk 2001 und schuf damit im anbrechenden Jahrtausend die bis heute gültige Hymne für den Kapitalismus. Denn entgegen dem mit fortschreitender Automatisierung einhergegangenen Versprechen von Entlastung und mehr Freizeit werden Arbeitszeiten länger, Anforderungen höher, kommt es zu immer größerem Innovations- wie Produktionsdruck bei gleichzeitigem Anstieg von Burn-outs sowie stetigem Raubbau an Ressourcen. Doch was, wenn das noch längst nicht genug ist? Was, wenn wir im Grunde viel zu langsam sind und wir die Rasanz der kapitalistischen Produktion, statt ihr eine Absage zu erteilen, beschleunigen und bis zum Anschlag treiben sollten? Ließen sich so nicht, wie manche meinen, die Beschränkungen des Kapitals selbst überwinden? Benjamin Noys wagt sich in Need for Speed mit Verve und Angriffslust in den reißenden Strom, der vom italienischen Futurismus über den Cyberpunk-Futurismus der 1990er- und 2000er-Jahre bis hin zu den Beschleunigungsfantasien im Anschluss an die Finanzkrise 2008 und den posthumanistisch befeuerten Geschwindigkeitsträumen der letzten Zeit führt, und lässt den Akzelerationismus schließlich als das zutage treten, was er ist: ein Symptom für das Elend und den Schmerz der Arbeit im Kapitalismus.