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Eine der bekanntesten Schöpfungen König Ludwigs I. von Bayern ist die Schönheitengalerie in Schloss Nymphenburg, gemalt von Joseph Stieler und ergänzt durch Friedrich Dürck. Im Laufe von gut 30 Jahren kamen 38 Porträts zusammen, die die Frauenschönheit an sich, als ästhetisches und sittliches Ideal verewigen sollten. Das Neue, Unbekannte an der Idee war, dass die Darzustellenden nicht nach Rang und Abstammung ausgewählt wurden, sondern allein aufgrund ihrer Schönheit - ungeachtet ihrer sozialen Herkunft. Die Gemälde zeigen königliche Prinzessinnen neben Handwerkertöchtern, Schauspielerinnen neben Hofdamen, Töchter von Hofbediensteten und hohen Beamten, Deutsche, Österreicherinnen, Italienerinnen, Engländerinnen, eine Griechin und eine vermeintliche Spanierin. Die Porträts wurden millionenfach als Ansichtskarten reproduziert, finden sich auf Porzellantässchen oder Kettenkarussells. Doch die Lebensgeschichten der dargestellten Frauen sind - mit wenigen Ausnahmen - kaum bekannt. In welcher Form war deren Leben mit der Vita des Königs verknüpft? Was ist aus ihnen geworden? Diesen und vielen weiteren Fragen ist die Historikerin Cornelia Oelwein nachgegangen und konnte dabei unerwartete Entdeckungen machen. Illustriert werden die 38 Biografien durch historische Abbildungen aus einem Album aus dem Jahr 1862.