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" Pour revenir, il faut être parti... " Pour Nicolas Sarkozy, tout était sous contrôle et se passait comme prévu. D'abord, le silence. Entier, absolu. Ensuite, le retour à une vie privée "normale", loin des caméras et des micros, après trente cinq années de vie publique sous la lumière des projecteurs. Puis, quelques confidences distillées par les plus proches, les intimes, en direction des médias : "Nicolas Sarkozy va bien", "il travaille", "il lit et profite de sa famille", autant de gages donnés à l'opinion et à ceux qui pensaient "Batling Nicolas" au tapis, épuisé et sonné par sa défaite à la Présenditielle de 2012. Compté 10, l'omni-président, K.O. debout ! C'est ce que l'on allait voir... Dans la torpeur de l'été 2012, la Syrie et son conflit meurtrier allait rappeller Nicolas Sarkozy à la mémoire de ceux qui l'avaient un peu trop vit enterré. Le mort bougeait encore, et se rappellait au souvenir de tous les croquemorts dans une tribune où il appellait l'Europe, le monde entier, à ne pas laisser faire. Cela tombait à pic, et résonnait comme une gifle assénée à la diplomatie mollassone de François Hollande et de son ministre Fabius. L'association des amis de Nicolas Sarkozy, avec Brice Hortefeux en chef d'orchestre, se chargeait alors de commenter le geste sarkozienne. Cerise, sur le gâteau, les sondages, ses pires ennemis ces dernières années, se remettait à lui dire que les Français n'avaient pas encore décidé de se passer de lui. Le soleil brillaiit à nouveau et la ridicule guéguerre Copé/Fillon, confirmait si besoin était que le chef à droite, c'était lui. Patatras ! Du côté de Bordeaux, un juge d'instruction aussi obstiné que discret, décida de mettre en examen l'ancien Président pour "abus de faiblesse" sur la personne de Liliane Bettencourt. Adieu veaux, vaches, cochons, couvées, le ciel s'obscurcissait tout d'un coup et l'année 2017 devenait soudain aussi lointaine que l'oasis pour celui qui marche dans le désert. A lors, Sarkozy, le retour impossible ? Rien n'est moins sûr avec celui dont la ténacité et le goût du combat ne sont pas les moindres qualités. Dans cet essai lucide et brillant, Thomas Guénolé nous entraine dans les coulisses du pouvoir, pour mieux nous expliquer que tout était prêt pour que Nicolas Sarkozy revienne en 2017jusqu'à sa mise en examen. Et si ce n'était qu'un contretemps dans le planning fixé. La justice a-t-elle redonné la soif de vaincre et le goût de la bataille à celui qui disait officiellement ne plus vouloir se présenter ? Sarkozy ressortira-t-il plus fort et motivé de l'épreuve qui le touche ? Thomas Guénolé répond à toutes ces questions et à bien d'autres encore. Son avis est clair, il n'a pas changé et tient en une phrase : " Sarkozy reviendra car il n'est jamais parti. "