Club utilise des cookies et des technologies similaires pour faire fonctionner correctement le site web et vous fournir une meilleure expérience de navigation.
Ci-dessous vous pouvez choisir quels cookies vous souhaitez modifier :
Club utilise des cookies et des technologies similaires pour faire fonctionner correctement le site web et vous fournir une meilleure expérience de navigation.
Nous utilisons des cookies dans le but suivant :
Assurer le bon fonctionnement du site web, améliorer la sécurité et prévenir la fraude
Avoir un aperçu de l'utilisation du site web, afin d'améliorer son contenu et ses fonctionnalités
Pouvoir vous montrer les publicités les plus pertinentes sur des plateformes externes
Gestion des cookies
Club utilise des cookies et des technologies similaires pour faire fonctionner correctement le site web et vous fournir une meilleure expérience de navigation.
Ci-dessous vous pouvez choisir quels cookies vous souhaitez modifier :
Cookies techniques et fonctionnels
Ces cookies sont indispensables au bon fonctionnement du site internet et vous permettent par exemple de vous connecter. Vous ne pouvez pas désactiver ces cookies.
Cookies analytiques
Ces cookies collectent des informations anonymes sur l'utilisation de notre site web. De cette façon, nous pouvons mieux adapter le site web aux besoins des utilisateurs.
Cookies marketing
Ces cookies partagent votre comportement sur notre site web avec des parties externes, afin que vous puissiez voir des publicités plus pertinentes de Club sur des plateformes externes.
Une erreur est survenue, veuillez réessayer plus tard.
Il y a trop d’articles dans votre panier
Vous pouvez encoder maximum 250 articles dans votre panier en une fois. Supprimez certains articles de votre panier ou divisez votre commande en plusieurs commandes.
Obra central de su trilogía familiar y cumbre de la trayectoria de su autor, Niños de domingo es también la «novela del padre» de Bergman, tanto como Conversaciones íntimas será «la de la madre». Un fin de semana de verano y un entorno campesino, propicios a la fantasía y al nacimiento del deseo, son el marco elegido para el reencuentro con el pastor Bergman y la carismática Karin. Su hijo menor tiene ocho años y nació en el último día de la semana; es por eso que este «niño de domingo» puede ver espíritus, fantasmas y trasgos, aunque los adultos se empeñan en dictar los límites de la realidad: «No hay fantasmas, no seas bobo, ni demonios ni muertos que abran sus bocas ensangrentadas al sol». El miedo a la vejez (que siempre es escatológica) y a la muerte, el primer despertar sexual y una temprana crisis de fe asaltan al pequeño Pu, que no es otro que un jovencísimo Ingmar, aunque «cada niño en la obra de Bergman ?nos dice Margarethe von Trotta? es él mismo». El estilo de este Bergman ya anciano es paradójicamente juvenil, se diría desaliñado, poco dado a perfilar lo ya escrito, y por eso mismo es ágil, es incisivo, y vibra, cuando no aletea. Una engañosa sencillez y la sensualidad propia de la mirada infantil gobiernan el planteamiento, y un puente invisible acaba uniendo esta obra maestra con aquella otra sembrada de Fresas salvajes.