Noir de lune
« Tout compte fait, je n'ai pas eu de mal à tuer ma mère. »
Comment survivre au matricide ? Pendant les vingt-quatre heures qui vont suivre, Helen Knightly se réfugie dans ses souvenirs... Surgissent alors les images d'une enfance passée auprès d'une femme splendide et démente, impitoyable et fragile, qui s'enfonce volontairement dans la maladie.
Même après le meurtre, l'amour-haine que Helen voue à sa mère est toujours vivace. Et l'angoisse monte, inéluctablement...
« Le troisième roman d'Alice Sebold est aussi dévastateur des pensées correctes et des bons sentiments que les précédents... [Elle] parcourt la face cachée, le noir que laisse la lune quand cesse de briller le désir de vivre. » ¤
Le point
« Sebold pourrait bien être une héritière authentique d'Edgar Poe. » ¤
Philadelphia Enquirer