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Das erste Mal, dass ich in Nottuln der Traurigkeit begegnete, war im Musikunterricht der achten Klasse. Ich saß in der letzten Reihe neben Thomas Osterschulte. Meine Mitschüler sangen »I like the flowers, I like the daffodils« im Kanon. Kurz vor unserem Einsatz drehte sich Thomas um, mit einem Finger nach vorne zeigend, und flüsterte mir hinter vorgehaltener Hand etwas zu. Er sagte: »Wusstest du, dass Frau Hedewig in den Osterferien Bleichmittel getrunken hat und ins Krankenhaus eingeliefert wurde?«»Ein sehr guter Erzähler. Ich verneige mich vor Jonas Rump - und Oberursel verneigt sich vor Nottuln.« (Leonhard Hieronymi)»Kannst du nicht das mit dem Traurigen aus dem Untertitel nehmen?« (Claudia Rump)