Les thèmes enfouis dans les précédents romans tendent encore plus violemment celui-ci.
Jean-Baptiste Harang, Libération
Une mise en évidence, tranquille, souriante, mais d'autant plus précise, de ce qu'on a nommé la « société du spectacle ».
Pierre Lepape, Le Monde
Plus que jamais, son roman apparaît lesté de l'inquiétant poids des convulsions du monde.
Jean-Claude Lebrun, L'Humanité
Superbe roman, sardonique, désinvolte à hurler, où l'on aime les humains comme de braves chiens qu'ils sont.
Dominique Durand, Le Canard enchaîné
L'écriture, chez Echenoz, n'est pas qu'une esthétique. C'est aussi une morale.
Jean Contrucci, Le Provençal
Un climat neuf, puissant et drôle, comme un solo sur l'étrange saxophone des mots.
Jean-Maurice de Montremy, Lire
C'est toujours admirablement écrit, lisse, visuel, parodique, subtil, malicieux.
Jacques-Pierre Amette, Le Point
Ce qui étonne surtout, c'est la manière entièrement originale avec laquelle il renouvelle l'art de raconter une histoire.
Thierry Altman, La Cité, Bruxelles
Le fil narratif est constamment nourri de digressions savoureuses qui prennent le lecteur par surprise.
Isabelle Martin, Journal de Genève
Il emporte le lecteur, émerveillé d'avoir gravité dans le bonheur des mots et de découvrir là le roman le plus inventif de cette rentrée.
Michèle Gazier, Télérama