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Dorothea Dhan trauert nach zwei Jahren noch immer um ihre verstorbene Frau, als Aenne Liebig in ihr Leben fegt – im wahrsten Sinne des Wortes, denn Dorothea stolpert über den Besen, den Aenne gerade schwingt. Fasziniert von dem rothaarigen Wirbelwind vergisst Dorothea für einen Moment ihren Vorsatz, sich nie wieder in eine Frau zu verlieben, glaubt auch, dass sie das gar nicht kann, weil ihre Frau ihre große Liebe war. Doch von Aennes Charme überrumpelt lässt sie sich fast ohne es zu wollen zum Kaffee einladen. Schon bald plagen sie jedoch Gewissensbisse, denn es fühlt sich wie Fremdgehen an. Zudem Aenne von der Sorte Frau ist, die es an keinem Ort und bei keiner Frau länger hält. Dorothea will sich daher wieder in ihr Schneckenhaus zurückziehen, wo sie es sich in ihrer Trauer gemütlich gemacht hatte, aber so leicht wird sie Aenne nicht wieder los – und es scheint für Aenne eine ganz neue Erfahrung zu sein, sich so intensiv um eine Frau zu bemühen . . .