« Bienvenue dans mon labyrinthe !
J'en ai soigné les finitions
Depuis ses larges fondations
Jusqu'à la plus modeste plinthe.
Donc perdez-vous y à loisir,
Faites des tours et des détours...
Qu'il puisse vous charmer toujours
Ou tout au moins, vous divertir. »
Afin de réinsuffler l'esprit poétique à une époque qui a perdu l'esprit de contemplation, Ludovic Marchand fait le choix d'un retour aux canons classiques : forme, langage, métrique... Anachronisme insolite ou sain retour aux sources ? Un lyrisme badin parfois teinté de néo-romantisme se dégage de ce premier opus.