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"Eine erschütternde Geschichte der Todesstrafe." Deutschlandradio Kultur
"Du sollst nicht töten!" Das erste Gebot der Bibel gilt weltweit in allen Kulturen. Sieht ein Staat aber in seiner Verfassung die Todesstrafe vor, so ist das Töten juristisch legitimiert. Diesem Grundwiderspruch geht Helmut Ortner in seinem engagierten Buch nach. Es geht um die Todesstrafe. Es geht um Vergeltung. Zu allen Zeiten und in beinahe jeder menschlichen Gesellschaft wurden mit staatlicher Legitimation – auch jenseits der Schlachtfelder – Menschen getötet. Gesetze, Exekutions-Methoden und Hinrichtungs-Inszenierungen haben sich geändert, geblieben ist der Glaube, etwas "Gerechtes" zu tun. Helmut Ortner beschreibt die Rituale der Vergeltung: Steinigen, Kreuzigen, Galgen, Guillotine, elektrischer Stuhl, Gaskammer – bis zur "zivilisierten" Giftspritze. Ein eindringliches, fulminantes Plädoyer: Weg von einer Kultur der Vergeltung, hin zu einer humanen Zivilgesellschaft. Wenn vor allem das amerikanische Rechtssystem im Mittelpunkt steht, dann deshalb, weil die USA die einzige westliche Demokratie sind, die bis heute an der Todesstrafe festhält. Hier wird besonders sichtbar, dass staatliches Töten von Menschen nicht nur ein Instrument des Strafrechts ist, sondern immer auch ein Ausdruck der Gesellschaftsordnung und ihrer Weltbilder. Mit einem Nachwort von Deutschlands streitbarstem Juristen Bundesrichter a.D. Prof. Dr. Thomas Fischer.