Quand l'auteur de Fight Club s'attaque au plaisir féminin.
Penny Harrington, aspirante avocate, travaille dans un prestigieux cabinet new-yorkais. C'est là qu'elle rencontre par hasard le magnat des médias, Linus Maxwell, venu régler les détails de son divorce avec la star française Alouette d'Ambrosia. Le soir même, Linus invite Penny à dîner.
Comment s'habiller lorsqu'on sort avec l'homme le plus riche du monde ? Comment se comporter quand son hôte compte parmi ses conquêtes les femmes les plus célèbres de la planète ? Et pourquoi un homme comme lui invite-t-il à dîner une fille aussi désespérément normale ? Malgré toutes ces questions, Penny passe une soirée de rêve, et c'est le début d'un véritable conte de fées.
Notre Cendrillon des temps modernes tombe en effet sous le charme de son chevalier servant. Amoureux platonique, celui-ci l'enchante. Aussi, quand elle croise Alouette à Paris et que celle-ci lui conseille de ne surtout jamais faire l'amour avec Maxwell, Penny ne comprend d'abord pas très bien. Mais, très vite, tout s'éclaire. Maxwell voue en effet une véritable obsession au plaisir féminin, une obsession aux conséquences multiples et très étonnantes.
Partez à la quête du plaisir avec l'enfant terrible des lettres américaines et Cinquante nuances de Grey va immédiatement vous apparaître comme un hors-d'œuvre sans saveur. Avec cette nouvelle satire radicale de notre société, Chuck Palahniuk empoigne une fois de plus le lecteur dès les premières phrases pour le laisser ébloui et sonné à la fin de ce roman, sans aucun doute l'un de ses plus réussis.