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Del prólogo: Hay muchos recorridos en el poemario que ha urdido Pedro Serrano. Puede decir, con el aplomo que le caracteriza, que su trabajo ha sido suficiente, que ha cumplido, aunque a veces se sienta apartado o casi culpable. También ese sentimiento de no completitud forma parte del deber cumplido, a la postre. Hay muchos recorridos, repito, y quizás este en el que yo me he demorado sea sólo uno más (incluso puede que no sea el decisivo, ni el que lleve más lejos), pero está en tu mano, lector, y en tus propias alas el descubrirlos. Te paso el testigo. Calcula la dirección del viento y coge vuelo. (JOSEFA PARRA)