Paradoxia
« Innocents, coupables, victimes, agresseurs : un seul corps. Tous en elle. Campée sur ses deux jambes, elle écrit comme elle est : elle cogne, et ça fait un bien fou. [...] ce qui est extraordinaire, ce n'est pas l'inceste, la prise de risque, les assassins, les grandes villes la nuit quand on est une petite lascive d'à peine 15 ans, l'argent volé et les drogues dures, la vitesse et les baises animales. C'est ce qu'elle en a fait. Paradoxia. »
Virginie Despentes