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Après De l’art d’élever des enfants (im)parfaits (érès, 1001BB, 2018), Comment survivre à ces enfants ? Ce que la parentalité positive ne vous a pas dit (érès, 1001BB, 2019), Patrick Ben Soussan rappelle que la plupart des conseils en parentalité ne résistent pas à l’épreuve du quotidien et qu’à force de développer des « techniques parentales », on va en arriver à faire de ce « métier », un job impraticable. En persuadant les parents qu’ils doivent continument se former – être des parents « outillés », plus équipés, plus informés -, se perfectionner, travailler sur eux, seuls dans leur coin bien entendu ou devant leur écran, on en rajoute à leur anxiété, leur peur de mal faire, leur culpabilité. Et on se dédouane de tout ce qui est de nature à questionner la place de l’enfant dans la collectivité, question politique s’il en est : quid des heures de trajet, du travail éreintant, de l’inflation, de la malbouffe, de la société de consommation, des places en crèche... On prolétarise les parents, on en fait des usagers comme les autres d’un système, en leur promettant une vie parentale sereine et tempérée, des enfants bienheureux et épanouis... s’ils font comme on dit.
Vous l’avez compris, ce discours sur la parentalité est un discours d’ordre public qui prend aujourd’hui place au sein de débats sécuritaires ou moralisateurs. Il est temps de vous penser, les parents, comme une ressource et non comme un risque, accepter l’enfant comme un trouble, un désordre réjouissant dans nos vies lustrées, l’établir non comme un problème à résoudre mais une ouverture à être !