Bien sûr, c'est une brute, et même une sale vieille brute. Il semblerait qu'il n'y ait rien dans le boulevard périphérique qui ait été conçu pour nous être agréable, plaire aux cinq sens, pour ménager ce que les urbanistes, depuis quelques années, appellent des aménités.(...)
Il y a une crudité, une inhumanité du boulevard périphérique. Peu importe sans doute, puisque personne ne s'y risque jamais directement, interdit qu'il est aux piétons, aux vélos et paraît-il aux animaux de trait.