Septembre 2019, dans la dernière ligne droite de l’écriture de son roman Le grand vertige (Actes Sud, Août 2020), Pierre Ducrozet se lance dans un voyage de plusieurs mois à travers l’Asie sur les traces de certains de ses personnages. Sous forme de chronique bimensuelle, il envoie des cartes postales à Libération : récits, impressions, sensations, “notes pour plus tard” qui prennent le pouls de cette planète et des humains qui y vivent. Et qui semblent constituer la très réelle contribution de l’auteur au réseau Télémaque fictif qu’il invente dans son livre.