La 6th airborne de la Normandie à la baltique
Pegasus 1944
6 juin 1944 : le D-Day, jour d'espérance, est enfin
arrivé ! Dans la nuit qui précède le débarquement
lui-même, les troupes aéroportées jouent un rôle
essentiel qui conditionne la réussite de toute l'opération :
Assurer la protection des plages en surprenant les Allemands
derrière leurs lignes. C'est ce qu'accompliront les hommes de
la 6th Airborne Division sur des sites aujourd'hui historiques
comme Pegasus Bridge ou la batterie de Merville.
Au coeur de la nuit, les Red Devils attaquent...
A l'est de l'Orne, les parachutistes et les hommes des planeurs fondent sur la
Normandie, et leur objectifs. En quelques instants, ils capturent intacts les
ponts de Bénouville et de Ranville, neutralisent les redoutables canons de la
batterie de Merville. Puis sur la Dives et la Divette, ils détruisent les ponts qui
auraient permis à l'ennemi de contre-attaquer. Au matin, la 6th Airborne
Division a conquis tous ses objectifs. Mission accomplie !
Les terribles combats de la Bataille de Normandie
Ensuite il faudra tenir. Tenir pour constituer un infranchissable rempart entre les
Allemands et le flux incessant d'hommes et de matériels qui débarque chaque
jour sur les plages, en particulier Gold, Sword et Juno. Débute alors une guerre
de positions pendant plus de 2 mois, avant de poursuivre l'ermemi jusqu'à la
Seine, fin août 1944. Ensuite viendront les Ardennes, le Rhin, la Baltique...
Des vestiges mythiques racontent l'Histoire
Les objets authentiques présentés dans cet ouvrage, la plupart publiés
pour la première fois, ont accompagné les hommes de la
6th Airborne au bout de leur mission, de leur bravoure et
parfois même de leur sacrifice.
Ces reliques, parfois légendaires comme le casque
du Major Howard ou la fameuse cornemuse du
Piper Bill Millin, vous emporteront au coeur de
l'action, mais surtout au coeur de l'Histoire.
Cet ouvrage est édité en partenariat avec
le Mémorial Pegasus de Ranville.
Le Major Howard
portait ce casque lorsqu'il
s'empara avec ses hommes
du pont stratégique
« Pegasus Bridge » dans
les toutes premières
minutes du D-Day.
Trois planeurs Horsa comme
celui-ci frappèrent les trois
coups du débarquement en
atterrissant près de « Pegasus
Bridge », peu après minuit, le
6 juin 1944. En tout, 318 Horsa se posèrent cejour-là.