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¿Cómo es posible que ciertos tipos digan bellas frases a la hora de su muerte? El «todo está bien» de Kant, o el «más luz» de Goethe, o el «mañana qué vendrá» de Pessoa, o incluso, a la manera de Sócrates, el «llévense de aquí a las mujeres» de Herculano. A la hora de la muerte lo que se debería hacer es estar callado. Es lo que debería de apetecer a medida que se fuera llegando allí. De ahí que quizás el hecho de que no se pierda el habla, aunque sea el lamento, es la señal de que todavía se está vivo. Pero si la cosa duele, se queda quieto y callado, esperando. La gran verdad de la vida es la muerte. Y un muerto está tranquilo. ¿Cómo es posible que algunos a la hora de la muerte tengan la insolencia de hacer frases? VERGILIO FERREIRA