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Walter Kissel untersucht zwei bisher nur unzureichend geprufte Axiome der aktuellen Martialphilologie: Erstens sollen die Personen in Martials spottischen Epigrammen unter beliebig austauschbaren Decknamen auftreten oder gar uberhaupt nur erfunden sein. Aber verwendet Martial nicht vielleicht doch Klarnamen, die jeweils auf einen ganz bestimmten Zeitgenossen verweisen und letztlich dessen Identifikation durch den Leser erlauben? Zweitens sollen seine Ichaussagen einer persona zuzurechnen, die einschlagigen Epigramme somit als Rollengedichte aufzufassen sein. Oder will der Dichter mit seinen autobiographischen Aussagen (auch als Ehemann oder Anwalt) nicht moglicherweise doch ernst genommen und als Individuum eigenen Rechtes anerkannt werden? Hinsichtlich dieser Fragen untersucht Kissel das Epigrammcorpus im Ganzen wie auch Martials programmatische Aussagen im Besonderen - und findet begrundete und interpretationsrelevante Antworten, die auch zu einer Neubewertung einzelner Gedichte fuhren.