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Voici deux essais sur le problème du Mal. Leur sécheresse conceptuelle, leur caractère argumentatif, sont de principe. Car ils sont tous deux animés d’une conviction forte : le Mal est une question philosophique qu’il faut ôter des mains des théologiens, des psychologues du crime et des critiques littéraires assoiffés de sublime. Faire le mal, et le plus de mal possible, obéit en effet à des règles rigoureuses, et il faut mettre ces règles au jour. Adoptant une posture analytique, Pierre-Henri Castel combat, dans un premier essai, deux idées communes : être pervers n’est pas soluble dans le relativisme culturel ou historique, pas plus qu’il n’existe de disposition naturelle à faire le mal. Le second essai, prenant la forme d’une lecture critique de l’Histoire de Juliette de Sade, interroge, au-delà de la forme littéraire, le programme philosophique et éthique de son œuvre pour en révéler toute la portée : la pensée de Sade n’est pas une source de frissons délicieux – elle est objectivement dangereuse, elle ne parle pas juste du Mal ; elle le fraye.