Thomas De Quincey écrit : «Mais certains hommes font passer leurs sentiments par certaines routes ; aussi en est-il qui préfèrent prouver l'intérêt qu'ils portent aux pauvres gens en exprimant de façon ou d'autre de la sympathie pour les souffrances de ces derniers ; pour moi je préférais leur témoigner cet intérêt en sympathisant avec leurs plaisirs.» En 1893, à L'Echo de Paris, pendant trois mois, Jean Lorrain, fidèle à De Quincey, a tenu une chronique sur les divertissements populaires d'un Paris faubourien. Pour la première fois ces chroniques sont rassemblées en un ouvrage.