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Alors que rebondit le débat autour de la repentance et de la colonisation, les tribunaux civils sont de plus en plus sommés d’indemniser les « préjudices de l’histoire ». On savait, depuis Nuremberg, que la justice pénale internationale pouvait juger les dirigeants, mais voici que, à présent, le droit privé est convoqué pour solder les comptes de l’histoire : spoliations des Juifs durant la Seconde Guerre mondiale, stérilisation de populations colonisées, occupation des terres des aborigènes, par exemple. Le mal dans l’histoire est-il un préjudice qu’on peut réparer ? L’indemnisation financière peut-elle ouvrir la voie à une réconciliation ? Les victimes y trouvent-elles vraiment la reconnaissance qu’elles cherchent ? Ne s’agit-il pas là d’une marchandisation de la justice ?Une enquête inédite sur une nouvelle façon de panser les plaies de l’histoire. Antoine Garapon, magistrat, a fondé l’Institut des hautes études sur la justice et est membre du comité de rédaction de la revue Esprit. Il a notamment publié Le Gardien des promesses, Bien juger, Des crimes qu’on ne peut ni punir ni pardonner, Juger en Amérique et en France.