Sur les galets de mes poèmes tu poses pour la photographie : ton visage tourmenté met la mer dans tous ses états. Le cliché ne peut arrêter ton infinie : tes brûlures incendient mes ciels : ma sage impatience brûle. Rien à voir qu'à jeter le rocher de mon désespoir aux ricochets du poème : ta voix photographiée dans mes silences, mes cris, mes raisons éperdues contre toutes les images de toi.