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Avoir vingt ans en 1979, au moment où son pays devient un gigantesque brasier, n’est pas une banale expérience. Nimrod Bena Djangrang, qui est né à Koyom, un village du sud du Tchad, a connu le désarroi consécutif au brutal changement de paysage. Il a surtout appris que la guerre que les hommes se font, est l’exacte réplique de celle que leur fait leur propre terre. L’aridité l’emporte sur les buissonnants échos verts. Et le poème se couvre d’une fine poussière écarlate. "Pierre, poussière" est l’écho de l’essentielle déroute : le désert.