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Au début des années 1960, un universitaire américain, cité par Rudolph Arnheim, pouvait se plaindre en ces termes de la piètre estime dont jouissaient les enseignements artistiques à l'Université. « .L'art en soi apparaît comme une matière dénuée d'utilité et n'est trop souvent considéré que comme une fioriture du programme, une futilité tout juste bonne pour les étudiants inaptes aux études techniques, un dépotoir pour athlètes, un training thérapeutique pour paraplégiques ». À cette époque, les bandes dessinées n'avaient guère droit de cité dans les sphères académiques, sinon vous imaginez les horreurs qu'on aurait entendues à propos de cette neuvième roue de la citrouille artistique. En pensant à Mad, Marshall Mac Luhan remarque pourtant que l'art populaire - auquel il rattache les bandes dessinées - « est un clown qui nous rappelle toute la vie et toute la liberté dont nous nous privons dans notre routine quotidienne ». Aujourd'hui, alors que le « neuvième art » fait l'objet de cours, de colloques comme de publications universitaires, « liberté » est effectivement le maître mot permettant de comprendre l'intérêt que nous pouvons porter à son univers hétéroclite, non pas seulement parce que la bande dessinée nous donnnerait à son contact l'illusion de rester en marge de la culture officielle, mais surtout parce que ses recherches plastiques et narratives témoignent, dans le
meilleur des cas, d'une liberté radicale de création, rebelle au formatage de l'industrie culturelle, étrangère à l'ordre de la communication et à ses codes élémentaires.