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De todas las figuras de la vanguardia francesa, Pierre Albert-Birot (1876-1967) es una de las peor conocidas, sobre todo si lo comparamos con otros poetas cubistas, como Guillaume Apollinaire, Blaise Cendrars, Max Jacob, Pierre Reverdy o André Salmon. Estos Poemas cotidianos (París, SIC, 1919) son su diario de apuntes de la Gran Guerra en París, versos de retaguardia con ecos laforguianos, futuristas y nunistas -el «ismo» que se inventó para definirlos-. En España tuvo el elogio de Jorge Luis Borges, Enrique Díez Canedo y Pérez-Jorba. La poesía de Pierre Albert-Birot es cotidiana, sencilla, jovial, a veces casi medieval por un lado, un poco Max Elskamp, a veces casi minimalista. Habla de una ciudad tentacular y unanimista, del metro y del ferrocarril, de ventanas abiertas, del Sena, de una lluvia casi machadiana, de unos gatos sobre un tejado, de un telegrama, de viajes intercontinentales, de su sentirse antena... Son 107 monedas de oro que brillan bajo la luz de los zepelines. Pierre Albert-Birot (Angoulême, 1876-París, 1967) fue uno de esos poetas de la primera vanguardia provinciana, ultraísta e ingenua, que tanto menoscabo tuvieron que sufrir a manos de los surrealistas más esnobs. Su obra es copiosa y frondosa, de envidiable frescura y amplio registro, publicada en ediciones artesanales de corta tirada. Dirigió la revista SIC durante la Gran Guerra, en la que colaboró toda la vanguardia del momento, en un kaleidoscopio mensual e incantatorio. Sus mejores libros son de esta época: Trente et un poèmes de poche (1917), Poèmes quotidiens (1919), La Joie des sept couleurs (1919), La Triloterie (1920). La enciclopedia Espasa de 1925 lo llama «uno de esos iluminados de las letras que han querido formar escuela removiendo hasta los fundamentos de la gramática y de la estética, renegando del pasado y sin dejar nada en pie». Y lo compara a Apollinaire, Max Jacob y Blaise Cendrars. Excelente carta de presentación, no cabe duda.