Promenades de 1 à 5
Marchant trop tard défié tous les âges éclos le long du chemin et pourtant je dis mais je n'ai pas encore vécu. Et repense à un coeur égaré dans un pré et repense au vent. Dieu est juste.
Au milieu de la route, soudain aussi large que longue. Et ainsi parvenons-nous au point où un gentilhomme se sent inséparablement partie de tout. Ainsi vivrai-je l'autre distance vers Sa main.
Je suis tombé sur des amis qui se trouvèrent face à un fantôme qui dit (je dis) être aussi perdu qu'un jardin public entouré d'une allée de tilleuls en fleurs, et chaque fois que j'hésitais je perdais un autre arbre prêt à fleurir.