Poésies
« Ma pauvre lyre, c'est mon âme », écrit en 1833 Marceline Desbordes-Valmore, dont la vie fut jalonnée de drames personnels. Pourtant, sa poésie résonne avec les questions existentielles les plus universelles. Elle rend une voix aux êtres aimés disparus trop tôt et aux opprimés, se joue des frontières entre les sexes. Vous l'aurez compris, vous tenez entre vos mains une oeuvre d'une grande modernité - n'en déplaise aux médisants qui surnommèrent la poétesse « la Grande Pleureuse » !
Au fil du recueil :
+ un dossier composé de 8 chapitres :