«Représenter, c'est mettre en signes une force, qu'il s'agisse des
gardes et des tambours du roi ou des ambassadeurs du prince ; le
pouvoir, c'est montrer ces signes, les faire voir afin de faire connaître les
choses dont ils sont les signes, afin de faire croire naturellement et sans
violence à la force (la violence) qu'ils représentent. Le grand arc de la
représentation ici se prolonge de la peinture et de la comédie à la
politique ; de la métamorphose de l'image et de la métamorphose de
scène à la transsubstantiation et à l'eucharistie du politique.»