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Die jüngere homiletische Diskussion erhebt häufig die freie Kanzelrede zur einzig angemessenen Weise der Predigt. Die Autoren überprüfen diese Position kritisch unter der Fragestellung, ob die freie Rede den rhetorischen und theologischen Anforderungen an eine Predigt tatsächlich gerecht wird. Denn die freie Kanzelrede ist von der Gefahr bedroht, zu einer Art smalltalk mit der Gemeinde zu werden. Aber auch das schlichte Vorlesen eines Predigtmanuskripts ist nicht empfehlenswert. Denn die Predigt erfordert rhetorisches Engagement: Ohne Kontaktaufnahme zu den Zuhörern kann niemand deren Aufmerksamkeit wecken. Für die Autoren zeichnet sich eine gelungene Predigt jedoch gerade durch diese Resonanz bei den Zuhörern aus. Daher stellen sie dem Über-Schätzen der freien Rede und der Diskreditierung des Manuskripts ihr Konzept des präsentischen Predigens gegenüber – für die kunstvolle Kanzelrede, die sorgfältig vorbereitet ist, theologischen und homiletischen Ansprüchen genügt, und in einem angemessenen Verhältnis zur Gemeinde vorgetragen wird.