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Pointierte, amüsante Alltagsgeschichten voll Hintersinn präsentiert Antonio Fian in seinem vierten Gedichtband. In dessen Zentrum steht ein »Präsident« (einer Bank? Eines Rotary-Clubs? Eines Sparvereins? Man weiß es nicht), ein Vertreter einer aussterbenden Spezies, der des patriarchalischen Familienvaters. Mag er auch im Herzen bemüht und stets gutwillig sein, seine Zeit ist vorbei: All die Belehrungen und welterklärenden Weisheiten des Universalinteressierten, seine Ausführungen über Philosophie und Dichtkunst rufen bei seiner Frau und den Kindern, selbst bei der Katze meist nur Kopfschütteln hervor oder werden überhaupt überhört.Antonio Fian gelingt es, aus den gewöhnlichsten Situationen Außergewöhnliches hervorzuzaubern und Gespräche wiederzugeben, bei denen nicht selten das Gesagte knapp am Ohr des Empfängers oder der Empfängerin vorbeigeht und feinste Situationskomik zustande kommt. Er hat sie aufgezeichnet in tadellosen Reimgedichten, die die Präsidentenlieder in eine Tradition deutschsprachiger Lyrik stellen, die über Ror Wolf und Robert Gernhardt zurückreicht bis zu Christian Morgenstern und Wilhelm Busch.