« On n'avait aucune préparation comme enseignant. On était lancées dans les classes. Mais parce qu'on y croyait, on croyait à ce qu'on allait faire, toutes, on s'y faisait vite. »
« Mon premier souvenir comme enseignante à la Sorbonne : on m'a demandé, lors des épreuves de licence de 1968, de faire passer le certificat de littérature française Moyen Âge. J'ai dit à M. Robichez : Je suis incapable de... j'ai appris un peu de Moyen Âge quand j'étais au lycée, dans le Lagarde et Michard, et puis plus rien.' Il m'a répondu : Madame, vous avez été nommée à la Sorbonne, vous êtes capable de tout enseigner, de tout corriger. »