Club utilise des cookies et des technologies similaires pour faire fonctionner correctement le site web et vous fournir une meilleure expérience de navigation.
Ci-dessous vous pouvez choisir quels cookies vous souhaitez modifier :
Club utilise des cookies et des technologies similaires pour faire fonctionner correctement le site web et vous fournir une meilleure expérience de navigation.
Nous utilisons des cookies dans le but suivant :
Assurer le bon fonctionnement du site web, améliorer la sécurité et prévenir la fraude
Avoir un aperçu de l'utilisation du site web, afin d'améliorer son contenu et ses fonctionnalités
Pouvoir vous montrer les publicités les plus pertinentes sur des plateformes externes
Gestion des cookies
Club utilise des cookies et des technologies similaires pour faire fonctionner correctement le site web et vous fournir une meilleure expérience de navigation.
Ci-dessous vous pouvez choisir quels cookies vous souhaitez modifier :
Cookies techniques et fonctionnels
Ces cookies sont indispensables au bon fonctionnement du site internet et vous permettent par exemple de vous connecter. Vous ne pouvez pas désactiver ces cookies.
Cookies analytiques
Ces cookies collectent des informations anonymes sur l'utilisation de notre site web. De cette façon, nous pouvons mieux adapter le site web aux besoins des utilisateurs.
Cookies marketing
Ces cookies partagent votre comportement sur notre site web avec des parties externes, afin que vous puissiez voir des publicités plus pertinentes de Club sur des plateformes externes.
Une erreur est survenue, veuillez réessayer plus tard.
Il y a trop d’articles dans votre panier
Vous pouvez encoder maximum 250 articles dans votre panier en une fois. Supprimez certains articles de votre panier ou divisez votre commande en plusieurs commandes.
Emmanuelle Le Texier a passé 18 mois dans le barrio mexicain de San Diego en Californie où 40 % de la population vit sous le seuil de pauvreté et où l’État social est quasiment absent. Elle décrit les multiples formes de participation politique en cours, et, à travers de nombreux entretiens, donne la parole à ses habitants. L’auteur déconstruit les représentations classiques de l’apathie politique des barrios et montre que ses résidents, exclus, souvent sans papiers, exercent des activités politiques, et ce sans l’intervention de médiateurs extérieurs. Elle soutient qu’il peut y avoir une “citoyenneté sans citoyen” et enfin fait apparaître le rôle décisif des femmes. Ce ghetto mexicain aux États-Unis sert ainsi de miroir grossissant des enjeux de l’intégration politique des minorités, un processus qui touche également la France.