L'atmosphère ambiante est celle d'une régression généralisée.
Comme elle est heureusement reléguée loin des affres de la communication et de l'utilitarisme, il se pourrait que la poésie fût interrogée ici pour aller contre l'époque, c'est-à-dire au plus près d'elle, au plus près du flux continuel et souvent contradictoire qu'elle manifeste.
Cette hypothèse serait alors comme un point de rencontre possible, un lieu commun, entre l'écriture d'Alexis Pelletier et les encres que Gérald Kerguillec apporte à celle-ci.