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Die neuen Gedichte von Marica Bodrozic sind ein sprachmagnetisches Kopfarchiv. Ganz nebenbei entsteht in ihnen Seite für Seite ein klares poetisches Familienalbum, das Schrecken und Liebe gleichwertig behandelt und dabei den Schmerz nicht auslässt, der, Nachhall von Gewalt, Angst und Verlust, immer als präziser Schreiber im Gedächtnis mitgeht. Die Dichterin hat dabei einen inneren Ort entstehen lassen, der von der Sehnsucht nach guten Berührungen erzählt, aber dabei die Idylle geradezu mathematisch scheut. Ein tastendes lyrisches Ich ist hier am Werk, das die Kraft aus dem Wissen um seine Zerbrechlichkeit schöpft. In allen diesen Gedichten ist es auf Reisen und wird nicht nur in der äußeren Welt fündig, vielmehr unterliegt es unterwegs und in fremden Städten, Orten und Landschaften den jeweils anderen Spiegelungen - ist es im Innen, treibt es wortgewaltig nach außen, um von dort wieder in die ureigenen Gedächtnishefte gleichsam wie in eine fremde Stadt vorzudringen. Die "Quittenstunden" bewegen sich im Echoraum von Gewalt und Freiheit. Die hier vorgelegten Muttergedichte, Vatergedichte und Liebesgedichte sind von einer sprachlichen Klarheit, die nicht nur eigene Erinnerung aufleuchten lässt, sondern durch die auch ein wortschöpferisches Panoptikum als fühlbarer Sprachraum sichtbar wird.