Au dix-neuvième siècle, ignoré de tous dans un village
perdu du Bengale, un moine hindouiste prêchait
déjà la compréhension mutuelle entre les traditions.
Il affirmait que toutes les religions sont faites pour
s'entendre, se respecter, et qu'elles avancent toutes vers
un même but, la même lumière.
Cet homme s'appelait Ramakrishna. Il était,
à l'image de saint François d'Assise, «le petit frère
universel». C'était un être d'amour, un mystique
modeste et souriant, un maître d'une bouleversante
fraîcheur.
Gandhi, Romain Rolland, Christopher Isherwood,
Jean Herbert furent parmi ses premiers disciples.
Depuis, l'influence de Ramakrishna n'a cessé de grandir.
En voici le portrait intime et l'enseignement essentiel.
Après leurs portraits de Thich Nhat Hanh et
de Pierre Rabhi, Rachel et Jean-Pierre Cartier
nous font découvrir d'une façon très personnelle
un autre grand maître spirituel.