Club utilise des cookies et des technologies similaires pour faire fonctionner correctement le site web et vous fournir une meilleure expérience de navigation.
Ci-dessous vous pouvez choisir quels cookies vous souhaitez modifier :
Club utilise des cookies et des technologies similaires pour faire fonctionner correctement le site web et vous fournir une meilleure expérience de navigation.
Nous utilisons des cookies dans le but suivant :
Assurer le bon fonctionnement du site web, améliorer la sécurité et prévenir la fraude
Avoir un aperçu de l'utilisation du site web, afin d'améliorer son contenu et ses fonctionnalités
Pouvoir vous montrer les publicités les plus pertinentes sur des plateformes externes
Gestion des cookies
Club utilise des cookies et des technologies similaires pour faire fonctionner correctement le site web et vous fournir une meilleure expérience de navigation.
Ci-dessous vous pouvez choisir quels cookies vous souhaitez modifier :
Cookies techniques et fonctionnels
Ces cookies sont indispensables au bon fonctionnement du site internet et vous permettent par exemple de vous connecter. Vous ne pouvez pas désactiver ces cookies.
Cookies analytiques
Ces cookies collectent des informations anonymes sur l'utilisation de notre site web. De cette façon, nous pouvons mieux adapter le site web aux besoins des utilisateurs.
Cookies marketing
Ces cookies partagent votre comportement sur notre site web avec des parties externes, afin que vous puissiez voir des publicités plus pertinentes de Club sur des plateformes externes.
Une erreur est survenue, veuillez réessayer plus tard.
Il y a trop d’articles dans votre panier
Vous pouvez encoder maximum 250 articles dans votre panier en une fois. Supprimez certains articles de votre panier ou divisez votre commande en plusieurs commandes.
Rassistisches Wissen über »Ausländer« verschwand nicht in der »Stunde Null« 1945, sondern prägte die sich formierende Einwanderungsgesellschaft grundlegend.
Rassistische Wissensbestände über »Ausländer«, die als »fremdvölkisch«, minderwertig, kulturell-biologisch unerwünscht oder gar gefährlich, aber gleichzeitig als ökonomisch brauchbar galten, zirkulierten seit dem Kaiserreich und bekamen in der Phase der Zwangsarbeit während des Zweiten Weltkrieges weite Verbreitung. Hier setzt Maria Alexopoulou mit ihrer Studie ein und fragt, was mit dem akkumulierten rassistischen Wissen über »Ausländer« in der sogenannten Stunde Null 1945 geschah. Migrant*innen waren in dieser Zeit durchgängig präsent und prägten mit der sogenannten Gastarbeiter- und späteren Asylmigration immer mehr das Bild vor allem der Industriestädte. Ausgehend von der Stadt Mannheim und von dort die Landes- und Bundesebene einbeziehend, zeigt die Autorin, inwiefern Bereiche der Lebensrealität von Migrant*innen auf institutioneller und struktureller Ebene, in Diskursen und im Alltag von rassistischem Wissen durchzogen waren: im Aufenthaltsrecht, dem Wohnungsmarkt, der politischen Partizipation sowie der Einbürgerung. Dabei wurde die Binarität »Deutsche und Ausländer« in immer neuen Othering-Schleifen verfestigt und neue Hierarchien zwischen »Ausländern« produziert, während sich die alte BRD gleichzeitig auch durch die widerständigen und eigensinnigen Praktiken von Migrant*innen transformierte und demokratisierte.