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Tod und Sterben gehören zu den wenigen Tabuthemen unserer Gesellschaft. Und dennoch steht fest: Mit dem Tod werden wir früher oder später alle konfrontiert.Als vor einigen Jahren der Vater der Autorin Petra Bartoli y Eckert starb, hat auch sie das Thema Tod kalt erwischt. Ihr blieb nichts anderes übrig, als sich mit Endlichkeit und Abschiednehmen auseinanderzusetzen. Und sie beschloss: Wir müssen reden! Übers Sterben, über den Tod und unseren Umgang damit. Sie hat sich dafür zu Fuß auf den Weg gemacht - von München bis St. Gallen.Der Münchner Jakobsweg wurde ein Sinnbild für ihre Suche nach Antworten und Erfahrungen rund um den Tod. Und er brachte sie zu Menschen, die sich als ideale Gesprächspartner erwiesen: eine Bestatterin, ein Sargmaler, der Kabarettist Gerhard Polt. Sie sprach mit einer Trauerrednerin und einem Freitodbegleiter, war auf einer Palliativstation, durfte in einem Sarg probeliegen und war in einem Krematorium bei der Einfahrt ins Feuer dabei.Am Ende ihres Weges stand fest: Reden über den Tod macht ihn nicht besser oder leichter. Aber es nimmt die Angst, den Schrecken. Und es holt den Tod ins Leben. Dorthin, wo er auch hingehört.