Xavier Grall et Georges Perros, hommes de l'être, tenaillés par un besoin viscéral de l'autre, devaient se croiser.
Bien que tardive, la rencontre chemina vers l'attention amicale, et, malgré leurs différences, ils se sont trouvés. La trop brève correspondance en témoigne, comme ces Regards croisés, une alternance de textes parfois peu connus, tissant une claudication commune et fraternelle. Jamais livre ne vaudra âme humaine, ultime hommage de Xavier à l'ami Georges.