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Serbisch erscheint durch die scheinbar völlige Abwesenheit von Vokalen in vielen Wörtern als schwer zu erlernende Sprache. Doch wie Autor Markus Bingel sagt: Serbisch beißt nicht! Sein Kauderwelsch-Band bietet einen unkomplizierten Einstieg in die Sprache, in der sich viele Wörter für Deutschsprechende leicht erschließen: vešmašina (Waschmaschine) oder bademantil (Bademantel) versteht man schließlich auf Anhieb. Serbisch zu lernen lohnt sich schon allein deshalb, dass man Ihnen mit Begeisterung begegnen wird, wenn Sie im Land erste Gehversuche im Serbischen unternehmen. Die Sprache öffnet Herzen und Türen der einheimischen Bevölkerung, und oft lernen Reisende ein Land erst so in allen Facetten kennen. Außerdem kann man sich mit Serbisch auch mühelos mit Montenegrinern, Bosniern und Kroaten verständigen. Und so versteht einen vielleicht nicht sveo vet (die ganze Welt), aber doch ein nicht eben kleiner Teil Südosteuropas.