«Du premier texte jusqu'aux derniers, l'auteur fait preuve d'une admirable
persévérance fantasmatique, mettant en scène des héros mus par leurs
pulsions sadomasochistes ou leur fétichisme. Ou encore des personnages
hantés par la figure d'une mère disparue et dont le deuil paraît impossible.»
Anne Bayard-Sakai, Préface, «Tanizaki, ou l'avidité romanesque»
«Car on pouvait douter que ce fût là un regard de femme : étincelant, lourd,
effrayant, il était gorgé d'une espèce de profonde, insondable fascination ;
aussi quand elle me fusillait du regard, un frisson parfois me passait-il dans
le dos.»
Un amour insensé