Rouges, les collines de Caracas
Dans Rouges, les collines de Caracas, Maxime Vivas a choisi de laisser à son héroïne (Gaya) le soin de nous conter elle-même ses (més) aventures dans la « Petite Venise » qui, de 1999 à 2013, a confié son destin à un président adulé ou honni : Hugo Chávez.
Résolument inscrit dans un épisode précis de l'histoire récente du Venezuela, ce livre est à la fois un polar, un « romanquête » et un récit d'aventures, d'espionnage, de violence et de suspense.
Ce que vous allez y découvrir (manipulations, disparitions, assassinats, explosions, actes d'héroïsme, enfumages médiatiques, complots, coups d'État, attentats, émeute, intervention de services secrets, ombre de la CIA, tueurs à gage, poètes et poésies, trahisons, amitiés, idylle internationale...) est le fruit hybride de la fiction et de la réalité. Du « mentir-vrai » couleur sang.