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On le surnomme Rubis-sur-l'Ongle car il paye toujours ses clients. Tapi dans l'ombre du numéro 24, rue Rodier, de huit heures à dix heures, Pierre Marcandie est un usurier sans pitié. Aujourd'hui c'est au tour de Robert de Bécherel d'emprunter de l'argent. Il a quitté Rennes pour venir travailler à Paris après la mort de son géniteur. Si le père de Robert a ruiné la famille des Bécherel, il a légué à son fils un lourd héritage : la passion du jeu. Pour ne pas sombrer plus bas encore, Robert devra lutter contre ses tendances naturelles et passer outre les mailles d'une société où les détournements de fortune abondent les rues.
Fortuné du Boisgobey dresse le portrait d'un monde de la bourse aux tendances capitalistes, et met en garde contre les tentations et les conflits que celles-ci engendrent.
Fortuné du Boisgobey (1821-1891) est un auteur français. Issu d’une famille noble, il poursuit des études de droit, et entre dans l'administration des Finances. Il ne se fait remarquer pour ses écrits qu’en 1843, avec ses « Lettres de Sicile », récit de ses voyages en Europe. Mais il ne se consacre véritablement à littérature qu’en 1868, avec « Deux Comédiens » publié dans Le Petit Journal. À compter de cette date, il devient un écrivain politique très populaire, notamment grâce à ses romans-feuilletons dignes des plus grands. Ses succès les plus importants sont « Une affaire mystérieuse » et « Forçat colonel » en 1869.