Parisienne et populaire, la rue G. a bien sûr
un nom officiel, mais pour ceux qui l'habitent,
c'est la «rue des petites daurades» : Farid, ses
délires et sa Wanda serbo-bosniaque ; Georges,
le concierge pas si raciste ; Sergueï sur sa balalaïka
; Marguerite et ses secrets ; les aigris du
Révizor ou les zébulons des Chants alizés...
Jusqu'à Monsieur X, qui va bouleverser la rue,
du boulevard au canal.