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Les gravures de Paul Hickin portent en elles, dans leur pureté technique et leur perfection presque obsessionnelle, la trace de la recherche attentive qui les a précédées. Et, latente, contenue, la menace sourde contre et par laquelle elles se sont constituées. Il faudrait savoir se mettre vraiment « au regard », comme on dit « se mettre à l’écoute », d’une œuvre où l’illusion figurative - par instant mimée - est, en même temps, toujours déjà minée par l’exigence d’une production qui n’a rien de re-productive. Les lieux désertés sont tous pleins encore de souvenirs obscurs, d’échos secrets, lointains, et les décors suspendus, d’improbables architectures qui ne tiendraient plus qu’à un fil. Et la chair est mise à nu par l’entaille même de la plaque de cuivre, cette incision au relent de sang d’encre et de crime parfait.