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Samuel Fuller a occupé une place centrale de la cinéphilie française et pourtant peu d’ouvrages ont été consacrés à la réflexion sur son oeuvre. Faut-il y voir la conséquence d’une sorte de sidération éprouvée à la vision de films gorgés d’une paradoxale brutalité qui se heurta parfois à un aveuglement idéologique ? Peut-être. Génial raconteur d’histoires, dont certaines nourries par l’expérience de quelqu’un qui fut aux premières loges des horreurs de l’histoire du XXe siècle (la seconde Guerre mondiale et la découverte des camps qu’il vécut en fantassin de l’armée américaine), l’auteur du Port de la drogue occupa pourtant une position singulière à l’intérieur d’un système qui sembla accepter les obsessions et les transgressions d’une oeuvre subvertissant, jusqu’à les faire exploser, les genres et les catégories d’une industrie cinématographique entrant dans une crise fatale. les textes réunis ici, abordant d’abord la filmographie de Fuller de façon transversale et s’attachant ensuite à l’examen, tout à la fois passionné et méticuleux, de chacun des films, démontrent la fascination qu’exerce encore, et peut-être plus que jamais, un cinéma où la violence baroque s’accorde avec une douceur imprévue, un cinéma où les contradictions du monde sont rendues intensément sensibles et où, parfois, les valeurs s’inversent. Une oeuvre où le choc n’exclut pas la caresse.