Faire du drôle avec du triste, c'est ma devise. Sauf qu'avant d'accéder au drôle, il faut passer par la case « triste ». Je me fais souvent interpeller par des passants sympathiques qui me disent :
« C'est pas la matière qui manque, en ce moment. Vous devez vous régaler ! » Je me régale. À mort.