Kursk fait le récit heure par heure du drame qui s'est joué à l'intérieur du sous-marin, et des efforts désespérés des sauveteurs. Une enquête sous tension qui se lit comme un thriller, adaptée au cinéma en novembre 2018.
A bord du sous-marin nucléaire russe K-141 Kursk en difficulté :23 marins à sauver... Cercle arctique, samedi 12 août 2000. Sous la surface de la mer de Barents, le Kursk, sous-marin nucléaire lanceur de missiles – fleuron de la flotte russe –, effectue des manœuvres. À son bord : 118 hommes.À 11 h 28, une explosion se produit dans le compartiment avant, la salle des torpilles. Plusieurs marins sont tués sur le coup. Puis de nombreux autres lors des minutes qui suivent.Les secours se mobilisent pour venir en aide aux 23 rescapés réunis dans le neuvième compartiment, à l'arrière du sous-marin. Début d'une incroyable course contre la montre.Ce récit décrit heure par heure le drame qui s'est noué à l'intérieur du Kursk, et la manière dont Vladimir Poutine et le Kremlin ont tenté de gérer la crise.Robert Moore a eu accès aux archives, aux dossiers secrets et a recueilli les témoignages de militaires, de sauveteurs et de proches des victimes.Son document a inspiré Kursk, le lm de Thomas Vinterberg, avec notamment Léa Seydoux, Colin Firth et Matthias Schoenaerts.